20 mai 2005
Petits arrangements avec la maladie
Lisbonne de l'autre côté du Tage : les lumières de la ville
Hier, j'apprends que mon père est malade. Après les banalités d'usage au téléphone qui étaient censées lui remonter le moral, rien trouvé de mieux que d'aller traîner à carrefoux et d'acheter la première chose qui m'est tombée sous la main : un four à pain ?! Comme si, de m'offrir une douceur, allait apaiser ma peine, mon impuissance. Et lui comment s'accommode t-il de son mal ?
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